Rejoindre le centre-ville depuis l’aéroport de Copenhague (Kastrup) est un jeu d’enfant. À condition de choisir le bon moyen de transport. Pour vous, on a déniché la meilleure option. Et on vous explique pourquoi c’est la meilleure.
Les meilleurs transferts depuis l'aéroport de Copenhague
Première règle à Copenhague : si tu hésites, c’est déjà trop tard. La ville file sous tes semelles et l’aéroport Kastrup ne tolère pas les dilettantes du transfert. Je t’ai donc mâché la besogne : voici l’essentiel, façon shot espresso nordique. Bref. On n’est pas là pour enfiler des perles.

Transferts : option – durée – coût – fréquence
Option | Durée | Coût (env.) | Fréquence |
---|---|---|---|
Métro M2 | 15 min | 30 DKK (~4€) | 4 à 6 min |
Train Air-Rail | 13-17 min | 30 DKK (~4€) | 5 à 20 min |
Bus 5A / 5C | 35 min (5A) | 30 DKK (~4€) | 10 à 20 min |
Taxi/VTC | 20-30 min | dès 250 DKK* | À la demande |
Navette privée | env. 25-35 min | dès 100 DKK* | Selon résa |
Location voiture | Variable | selon agence | À la demande |
*(Pour les taxis/privés, prévois d’y laisser un rein si embouteillages)
C’est cadeau. Tu veux la crème? Prends le métro ou le train : tu seras au cœur du Danemark avant même d’avoir digéré ton sandwich triangle.
« À Kastrup, même la file d’attente au contrôle est hygge. » — Octave Bellamy
Le savais-tu ? Dans le terminal, chaque coin est suspecté de planquer son lot de lampes tamisées et fauteuils design prêts à t’enlacer comme une grand-mère danoise en tricotant de la laine bio. Les rumeurs racontent que même l’Eventyr Lounge parvient à conjuguer vues sur les pistes ET cocon anti-stress nordique… Un vrai traquenard pour globe-trotters tendus.
Le train Air-Rail : le bolide du terminal 3
Oublie les détours d’aérogare façon Monopoly : le Terminal 3, c’est le jackpot direct pour rejoindre le centre de Copenhague. Qu’on se le dise, toutes les routes qui brillent mènent ici. Bref.

Accès au T3 et achat des billets – mode d’emploi
Descendre de l’avion ? L’aventure commence dans la moquette grise du hall bagages.
- Suis les panneaux "Train" : pas l’ombre d’un troll, mais une signalétique en béton armé (enfin presque). Tout est au sous-sol, donc tu files tout droit (sans bifurquer chez Lego ou Starbucks).
- Billets : Pour acheter ton sésame, deux options : les distributeurs automatiques DSB (on paie en DKK ou CB) – efficaces mais peu loquaces. Ou bien l’app CPH Travel : tu peux acheter ton ticket sans quitter ta file d’attente, si t’as pas la patience d’un danois devant un buffet à volonté.
- Zones tarifaires : Attention ! L’aéroport est en zone 4, donc pour rejoindre le centre-ville (zone 1), il faut un ticket valable sur 3 zones minimum.
- Tu valides (ou montres au contrôleur), tu descends sur les quais, et c’est parti mon kiki.
« À Copenhague, même le sol de la gare est si propre qu’on pourrait y pique-niquer. »
Checklist express :
- [x] Sortie bagages en main
- [x] Suivre les panneaux 'Train'
- [x] Acheter son ticket via machine/app/mobile
- [x] Valider et filer vers la rame
C’est cadeau.
Durée du trajet, fréquence et zones tarifaires
Arrêt | Durée moyenne | Fréquence |
---|---|---|
Nørreport | 13 min | 10 min |
Hovedbanegården | 15 min | 10 min |
Le train Air-Rail relie zone 4 à zone 1 avec la régularité d’un métronome suisse.
Heures creuses ou pointe ? Tu attends rarement plus longtemps qu’il ne te faut pour finir un Smørrebrød rassis.
Points forts et limites (hygge à grande vitesse ?)
⭐️⭐️⭐️⭐️☆ (4/5)
Rapide ? Oui. Confortable ? Sans hésiter : prises électriques, sièges propres et silence quasi-biblique. Mais niveau immersion… on repassera. Ici personne ne chante "Skål!" ni ne sort une corne à hydromel pour fêter chaque arrêt. Le Danemark version efficient, pas folklorique – tu veux vivre l’absurde viking, va voir côté bus !
Ah oui… Les annonces sont limpides – même après trois bières Carlsberg dans le sang, impossible de se perdre.
Bref. Tu arrives vite mais sans histoire à raconter sur ta voisine déguisée en hareng mariné.
Le bus 5A et 5C : la solution économique indétrônable
Tu veux sentir battre le vrai cœur danois ? Oublie l’orgueil du train propre : le bus, c’est le terrain de jeu des locaux pressés ET des voyageurs désargentés. Bref.
Embarquement devant le terminal 2 : où et quand ?
L’arrêt n’a rien d’un secret d’État – Lufthavnsboulevarden 6, en face du terminal 2. Impossible à rater : suffit d’avoir un flair minimal pour l’odeur de gasoil (ou un GPS, si tu es en rupture avec la poésie). Les horaires ?
- Fréquence : entre 6 et 10 minutes en journée. Le bus démarre dès 6h00 et s’essouffle vers 23h00 (pour les couche-tard, service de nuit plus irrégulier).
- Les premiers bus partent à l’aube, bien avant que le café ne circule dans tes veines; les derniers frôlent minuit, histoire que même les passagers des vols low cost aient leur lot de galère nordique.
Résumé express : Arrêt devant le terminal 2, toutes les 6 à 10 minutes, de l’aube jusqu’à minuit.
Tarifs, validité du billet et astuces pour payer moins cher
Un ticket standard couvre zones 1 à 4, valable sur métro, train OU bus pour une durée d’1h15. Tu peux acheter :
- Direct au distributeur Movia (DKK ou CB)
- Par app officielle DSB ou CPH Travel (pas besoin de parler danois ni d’être diplômé MIT)
- Ou via Rejsekort (carte rechargeable à valider à la montée ET la descente sinon amende salée…)
Pour les pingres affutés, compare rapidemment sur Skyscanner ou Flixbus – parfois une promo te file sous le nez. Un truc de baroudeur averti : si tu sais déjà ton retour date/heure, prend un returbillet ou un carnet multi-trajets via DSB – c’est LEGO-économique sur plusieurs jours.

Anecdote : En décembre dernier j’ai tenté d’utiliser un billet acheté sur Flixbus pour monter dans le 5A — réaction du chauffeur ? Il m’a regardé comme si j’avais sorti une hache viking. N’insiste pas, achète local.
Comparatif 5A vs 5C : quel itinéraire privilégier
Tous deux partent des alentours du T2 mais bifurquent ensuite vers deux mondes différents :
Critère | Bus 5A | Bus 5C |
---|---|---|
Zone desservie | Centre-ville | Est d’Amager & Nørrebro |
Fréquence | ~8 min | ~10 min |
Durée moyenne | ~25 min | ~30 min |
Le 5A te dépose direct à Rådhuspladsen (l’hôtel de ville), traverse Amagerbro et remonte jusqu’à Nørreport — parfait pour ceux qui veulent poser vite fait leurs valises au cœur historique. Le 5C, quant à lui, drague davantage l’Est urbain avant de rejoindre Nørrebro : idéal si tu pionces près des hipsters ou rêves d’un kebab nocturne après ton vol Ryanair.
Bref. Si t’es pressé et que tu veux des histoires absurdes à raconter sur la promiscuité hygge-bus — monte dans le premier qui arrive et entonne un chant viking discret… on ne sait jamais qui va répondre.
Taxi, VTC et services premium
Un taxi à Copenhague, c'est comme une loterie nordique : tu gagnes la tranquillité, mais tu paies le prix fort. Prends place sur la banquette arrière – voici les secrets que ni la mairie ni ta banque ne veulent que tu connaisses. Bref.

Tarifs indicatifs et astuces pour négocier
Ici, le compteur tourne plus vite qu’un cycliste sur Nørrebrogade. Pour aller du Terminal 3 à l’hôtel du centre, prévois une addition entre 200 et 400 DKK (27–54€, selon trafic, humeur du chauffeur et si la lune est pleine). Quelques références :
Heure | Tarif approximatif |
---|---|
Journée | 200–300 DKK |
Nuit/Week-end | 300–400 DKK |
Bagages/Extra | +10–30 DKK par valise |
- Les taxis acceptent CB ou espèces en couronnes (DKK) : évite les devises exotiques, sinon tu feras rire tout le parking.
- Pas de forfait : c’est taximètre obligatoire. Pas moyen d’embrouiller qui que ce soit, à moins d’avoir un doctorat en mauvais danois.
- Si on t’annonce un prix fixe hors compteur = méfiance…
- Pourboire non inclus; arrondis si ton chauffeur te raconte une anecdote ou te sauve d’une averse.
Bref. On n’est pas là pour financer la retraite de toute la flotte jaune localement.
Application mobile vs file d’attente – que choisir ?
Le duel est inégal : applications (Uber, Bolt) contre la vieille école des taxis officiels danois. Voici le round décisif :
- Avantages Appli
- Réservation instantanée dans ta langue (ou presque)
- Prix affiché à l’avance (Bolt) ou estimation claire (Uber)
- Paiement intégré, pas besoin de chercher un distributeur au fin fond du terminal
- Temps d’attente souvent inférieur à celui des files classiques — surtout quand trois avions débarquent en même temps
- Inconvénients Appli
- Disponibilité variable selon l’heure : Uber est parfois aussi rare qu’un soleil d’hiver à Copenhague
- Certains conducteurs ne baragouinent que le danois (prépare Google Translate)
- L’ambiance « Viking Uber pop » manque un peu de folklore local : aucune chance de tomber sur Torben-le-chauffeur qui connaît tous les ragots du centre-ville
- Avantages File d’attente traditionnelle
- File structurée, zéro triche possible ; priorité aux voyageurs honnêtes… ou patients !
- Taxis toujours agréés, assurance béton armé (si un élan traverse la route, t’es couvert)
- Inconvénients File
- Attente interminable aux heures de pointe ; ambiance morne garantie sous néons blafards
- Tarifs imprévisibles en cas de bouchons dignes des sagas nordiques — ou supplément météo si tempête sur Kastrup !
Bref. Si tu veux parier sur la vitesse et éviter l’absurde : appli. Si tu collectionnes les anecdotes grinçantes : file d’attente. C’est cadeau.
Quand filer doux c’est tricher : avantages du service privé
À Copenhague, le service premium n’a pas peur des superlatifs : limousine noire ou van climatisé XXL — ton ego adore.
- Navette partagée (Shuttle Direct & co) : tarif fixe autour de 120–180 DKK/pers pour le centre-ville ; confort standard mais direct jusqu’à ton hôtel sans chichis.
- Voiture privée/VTC luxe : réservation via Noble Transfer, Transfeero ou MyTransfers ; chauffeur bilingue au sourire gymnique, trajet sans détour ni surprise ; prix fixé à l’avance (~350–600 DKK selon niveau d’ostentation).
- Avantage majeur : confort inégalé après un vol low cost où t’as côtoyé l’absurde humain — sièges moelleux, wifi embarqué… parfois même bonbons (si c’est Noël).
- Petit bémol : réservé aux allergiques au contact social ou aux malades du portefeuille bien garni.
Anecdote véridique : lors d’un road trip express incluant une navette privée vers Nyhavn en pleine tempête glacée – ma conductrice s’appelait Freja et récitait du Kierkegaard en conduisant. J’ai cru rêver. Bref. Pour certain·e·s voyageurs·ses pressé·e·s, filer doux n’a jamais été aussi chic.
Location de voiture et road trip express
On va pas tourner autour du rond-point : le vrai baroudeur sort du terminal, chope une bagnole, et file sur l’E20 avant que ses chaussures aient eu le temps de moisir. Bref. Prends ton permis, ton plus beau sac à dos qui sent la vieille chaussette et suis-moi.

Les loueurs à l’aéroport (Hertz, Avis, Sixt, Europcar)
Ici, c’est la foire aux logos :
- Hertz – Terminal 1/P1 parking – 7h00/23h00
- Avis – Terminal 1/P1 parking – 7h30/22h30
- Sixt – Terminal 1/P1 parking – 7h00/23h00, navette gratuite depuis autres terminaux via Clarion Hotel (sinon t’as les mollets d’un cycliste danois)
- Europcar – Terminal 1/P1 parking – env. 7h00/23h00
Points communs ? Toutes les agences sont collées-serrées au P1 parking ou accolées au Terminal 1 : même pas besoin de se perdre dans les couloirs moquette à motifs douteux. Pour louer ?
* Passeport ou carte d’identité + permis valide européen/international obligatoire
* Carte bancaire (pas de cash, sinon tu y restes jusqu’à la Saint-Hans)
* Âge mini souvent 21 ans (des fois plus selon la catégorie ou assurance) ; attention au supplément "jeune conducteur" qui pique plus qu’un schnaps mal dosé.
* Réservation en ligne vivement conseillée pour éviter de poireauter derrière un groupe de Suédois indécis.
Loueur | Comptoir | Heures | Conditions principales |
---|---|---|---|
Hertz | P1 Terminal 1 | 7h-23h | Permis EU/int. + CB |
Avis | P1 Terminal 1 | 7h30-22h30 | Idem |
Sixt | P1 Terminal 1 (+nav.) | 7h-23h | Idem |
Europcar | P1 Terminal 1 | ~7h-23h | Idem |
Cadeau bonus : le plein n’est pas systématique à rendre plein, vérifie le contrat sinon tu finances les vacances du boss en Croatie.
Itinéraire via l’E20 et parkings en centre-ville
Dès que t’as mis la main sur ta clef électronique géante (ou pas), direction sortie E20, c’est écrit en gros, impossible de rater sauf si t’es fan des demi-tours inutiles.
Exemple express :
Étape | Distance | Temps |
---|---|---|
Sortie CPH → E20 | 2 km | 3 min |
E20 → Centre (Hvidovrevej) | 10 km | 12 min |
La E20 est l'autoroute chouchou des locaux : fluide hors heure de pointe (sauf si un troupeau de cyclistes décide l’évasion collective). Pour stationner : oublie le rêve du parking gratuit — parkings souterrains type Q-Park ou Jeudan te délestent entre 25 et 40 DKK/h mais ils sont ultra-sécurisés et pré-réservables en ligne. Pas envie d’arnaque ? Reste dans le réseau officiel.
Anecdote absurde : une fois garé près du DGI Byen, j’ai retrouvé mon pare-brise décoré… d’une plume de cygne. Coïncidence ? Ou clin d’œil danois à Andersen ? J’ignore toujours si c’était un PV poétique.
Bref. pourquoi c’est cadeau pour les baroudeurs motorisés
Parce qu’avoir une caisse ici, ça sent la liberté scandinave à pleins pots ! Tu peux quitter la fourmilière urbaine sans supplier les algorithmes Movia ou Metro pour une correspondance invraisemblable. Sur l’E20, chaque sortie est une promesse : une plage déserte, un fjord improbable ou un village qui sent le poisson séché. Tu veux voir Roskilde avant le déjeuner puis Helsingør pour jouer Hamlet après-midi ? En voiture Simone — personne ne viendra vérifier si tu chantes faux sur ABBA en passant le pont d’Øresund.
"Un road trip danois commence souvent par un projet raisonnable et finit avec trois bières artisanales au bord d’un lac inconnu."
C’est cadeau.
Services pratiques à l’aéroport de Kastrup
Tu pensais t’en tirer avec juste un sandwich triangle et un panneau « Exit » ? Erreur de débutant. CPH aéroport, c’est une matrice nordique où chaque galère logistique devient une expérience digne d’un roman suédois.
Bref. Voici le guide qui t’évitera de finir en PLS sous une lampe IKEA.
Consignes à bagages et casiers automatiques : voyager les mains libres sans vendre un rein
C’est cadeau, la liberté n’a jamais été aussi compacte qu’un casier danois. Les consignes automatiques sont planquées entre Terminal 3 (niveau Arrivées) et la galerie marchande vers la gare ferroviaire – impossible à louper, sauf si tu es allergique au mot « Locker ».
Checklist pour voyager léger :
- Casiers : plusieurs tailles (sac cabine, valise XXL, sac à dos fuyant)
- Paiement : cartes bancaires only, cash refusé comme dans une dystopie anti-billet
- Durée max : jusqu’à 72h selon la taille du casier ; plus longtemps = surcoût ou expulsion du bagage vers Narnia
- Récupération : 24/7 via ton code secret ; attention, oublie-le et tu dors dans le hall comme une étoile filante du backpacking scandinave
| Taille | Tarif horaire | Tarif 24h |
|----------------|-----------------|--------------|
| Petit (sac) | ~50 DKK | ~70 DKK |
| Moyen (valise) | ~60 DKK | ~80 DKK |
| Grand (géant!) | ~70 DKK | ~90 DKK |
Tarifs indicatifs – vérifie sur place sinon tu pleures devant la machine.
Anecdote grinçante : un baroudeur distrait a réussi à coincer son parapluie dans la trappe… Résultat ? Intervention d’un agent avec gilet fluo et sarcasme en option. Bref.
Bureaux de change et distributeurs de billets : éviter le racket avec style
À CPH, changer ses euros relève parfois du sport cérébral. Les bureaux Forex sont bien visibles dès l’entrée du Terminal 3 et près des arrivées internationales — guichet illuminé façon banque scandinave, mais pas de miracle sur les taux : la commission s’invite toujours à la fête.

- Change DKK/EUR : taux affiché en gros caractères (illisibles sans lunettes après 20h). Préfère échanger seulement l’essentiel pour éviter les frais absurdes (~2% mini).
- ATMs/Distributeurs : présents dans chaque terminal – certains proposent retrait sans frais si ta banque européenne est sympa. Préfère ceux situés près des guichets officiels plutôt que les machines exilées derrière un Duty Free glauque.
- Commission fixe souvent appliquée côté bureau Forex ; les ATM grignotent parfois aussi sur les conversions cachées.
Résumé pour radins avertis : Prélève direct en couronnes depuis l’ATM, refuse le « taux garanti » proposé par la machine et planque tes devises au chaud. On n'est pas là pour engraisser le système !
Espaces détente, snack hygge et wifi gratuit : pause scandinave ou rien
Ici on ne plaisante pas : même l’attente devient cocooning calculé. Plusieurs lounges rivalisent d’adorables fauteuils scandinaves design — mention spéciale à l’Eventyr Lounge (T2/T3), SAS Lounge (Terminal 3) et Regus Business Lounge côté zone publique.
Espace | Accès | Ambiance |
---|---|---|
Eventyr Lounge | Payant/CB | Fauteuils + vue piste + buffet scandi |
SAS Lounge | Compagnie/Sas+ | Buffet froid + espace silence |
Regus Business | Sur résa | Coin travail + canapés |
Pour les fauchés qui rêvent tout de même d’hygge :
- Cafés nordiques disséminés partout : Joe & the Juice, Lagkagehuset (pains briochés), Espresso House…
- Coins cosy : banquettes molletonnées près des portes d’embarquement T2/T3, trop souvent squattées par des hipsters en transit mais ouverts aux audacieux qui osent demander « ce siège est libre ? »
- Wifi gratuit illimité partout via « CPH Airport Free WiFi ». Pas besoin de sacrifier ton mail ou ta dignité : connecte-toi direct sans inscription inutile ni pop-up publicitaire envahissant.
Bref. Si tu rates ton vol parce que tu as oublié le temps dans un cocon lounge scandinave — ne m’accuse pas ! C’est cadeau.
FAQ express pour quitter l’aéroport sans se prendre les pieds
Quel billet choisir selon mon budget ?
Mini-guide malicieux et ultra-express du choix du billet à Copenhague :
- Pour les pinces (budget mouchoir) : Ticket simple bus/métro/train zone 1 à 4, environ 36 DKK (oui, oui, le prix d’un croissant sec chez Lagkagehuset).
- Pour les malin·es prévoyant de jongler entre quartiers ou retours multiples : City Pass 24h zones 1–4 — accès illimité à métro, bus, train dans tout le centre et jusqu’à l’aéroport. À partir de 80 DKK.
- Pour qui veut voir plus loin que le bout des rails : Carnet multi-trajets (DSB) ou Rejsekort rechargeable si tu restes toute la semaine et que tu veux snober les touristes sur la durée.
Bref. Le métro c’est rapide, le bus c’est folklorique, le train c’est suisse. Mais le City Pass te sauve du casse-tête et t’évite de passer ta vie devant un automate DSB mal luné.
Existe-t-il un pass combiné transport + visites ?
Oui — mais attention, ici on ne vend pas du rêve low-cost. Deux passes principaux sortent du lot :
- Copenhagen Card – Discover :
- Prix : à partir de 499 DKK (~67 €) pour 24h/adulte.
- Inclus : transports illimités (métro, bus, trains régionaux ET aéroport)
- Attractions : entrée gratuite à plus de 80 musées/monuments (Tivoli, château Rosenborg, zoo…)
- Chaque adulte peut emmener gratuitement deux enfants (-12 ans)… Parce qu’au Danemark personne ne laisse traîner ses rejetons dans un casier.
- Copenhagen Card – Hop :
- Prix : autour de 575 DKK (~77 €)
- Inclus : accès attractions du centre + Bus Hop-on Hop-off (