Ksamil, c’est l’eldorado des plages de sable blanc et des eaux cristallines. Mais c’est aussi (et surtout) un terrain de jeu infini pour quiconque cherche à échapper au tourisme de masse. On t’a préparé le guide ultra-complet pour préparer ton séjour dans l’un des coins les plus fous d’Europe.
L’aventure à Ksamil : un paradis loin du tourisme de masse
Imagine-toi débarquant dans un coin où la mode du selfie collectif a été stoppée net par… le bon sens. Ksamil, sur la Riviera albanaise, n’est pas là pour cajoler les foules ou gaver des files de touristes suants et apathiques. Ici, on savoure le silence épicé d’embruns, les plages que personne ne s’est encore amusé à bétonner et une eau turquoise qui ridiculise sans pitié les brochures grecques ou croates.
Trop longtemps sous-estimée (et tant mieux !), la région offre une parade d’expériences tirant vers l’extra-sensoriel : îlots énigmatiques aux noms imprononçables, parc national bourré de mystères antiques et marchés où l’on troque parfois un poulpe contre un sourire édenté. Ksamil refuse obstinément le prêt-à-voyager : pas d’avenues ripolinées, pas de cocktails hors de prix, mais des criques tordues, des fruits de mer qui ont vu la Méditerranée avant toi, et ce sable… ah ce sable. Prépare tes pieds et ta paranoïa : la mémoire des lieux ici colle aux semelles comme une malédiction réjouissante.
Ksamil : tu viens pour les plages parfaites ; tu restes parce que ce « bled » te retourne l’âme façon puzzle — même si tu ne retrouveras pas toutes les pièces en repartant.

Pourquoi Ksamil est la dernière frontière de l’aventure
Qui cherche la Riviera albanaise finit tôt ou tard échoué sur les rives biscornues de Ksamil. Ici, chaque baigneuse et chaque goéland semblent avoir fui le vacarme mondial : c’est la promesse d’un bout du monde à portée d’aile, où les montagnes tutoient la mer avec insolence et où l’on croise plus souvent un vieux pêcheur qu’un vendeur de magnets.
Trois croyances nomades à tester sur place
- Le sable mémoriel de Ksamil : il paraît que chaque grain enregistre les secrets des voyageurs distraits… Marche pieds nus à tes risques et périls (tu pourrais te souvenir d’une vie antérieure moche).
- Les crabes chuchoteurs : approche-toi des rochers au crépuscule et tends l’oreille – ces petites bêtes n’ont rien à envier aux guides historiques locaux pour te livrer LA vraie saga cachée du pays.
- Le pouvoir stoïque du kayak : impossible de pagayer sur ces eaux sans être frappé·e par une révélation philosophique majeure (ou sombrer dans un ennui méditatif abyssal). Les kayaks ksamilites transforment tout moldu urbain en sage antique temporaire.
Comment se rendre à Ksamil depuis l’Albanie et au-delà
Atterrir à Ksamil, c’est un peu comme chercher la sortie secrète d’un labyrinthe albanais. Le trajet mérite parfois d’être raconté dans des veillées autour de feux de camp, mais rassure-toi : tu ne finiras pas dévoré·e par une horde de sangliers. Voici le mode d’emploi non homologué pour te rendre en territoire ksamilien sans sombrer dans la folie ou le kitsch du bus touristique.

Depuis Saranda en bus ou taxi
- Départ : Saranda, gare routière poussiéreuse mais authentique (compte les chats errants).
- Durée : Environ 20 minutes (en théorie, car rien n’empêche un arrêt improvisé pour ramasser un local ou deux).
- Prix : Bus local autour de 1,30€ ; taxi collectif entre 5 et 10€ selon l’humeur du chauffeur ou du vent.
- Route : Suivre la SH81, route côtière aussi sinueuse qu’une anguille sous amphétamines.
- Conseil premium : Arriver tôt, sinon tu voyageras coincé·e entre les valises et la grand-mère qui raconte sa vie… en albanais exclusivement.
Depuis Corfou : l’option bateau-taxi
Traverser depuis Corfou relève du micro-voyage mythologique : embarque direction Saranda (30 à 70 min selon la météo et la compagnie). Ensuite, attrape un bus ou un taxi déglingué jusqu’à Ksamil — et tente de ne pas perdre ton âme ni ta valise sur le quai !
En voiture via la SH81 – filer doux c’est tricher
Sillonne la SH81 avec ostentation, prépare tes lombaires pour quelques secousses mémorables. Les panoramas changent plus vite que les humeurs météo et chaque virage offre une nouvelle prise de vue digne d’un manuel de survie touristique.
Étape | Distance / Durée | Détail spécial |
---|---|---|
Saranda > Ksamil | ~15 km / 20 min | Lacets serrés, vues absurdes |
Points photo | Innombrables | Goélands jaloux inclus |
Pause possible | Oui | Arrêt olives sauvages |
Bref, transporte-toi comme bon te semble
Tu peux bien venir par montgolfière ou trottinette vintage : t’auras toujours droit aux jeux de pistes balkaniques. Consulte Transports à Ksamil : avis & retours pour découvrir des légendes urbaines locales sur le sujet.
Que voir et faire absolument à Ksamil (MECE)
Explorer les plages paradisiaques (Monastère, Goélands, Harta)
La plage du Monastère se mérite comme un code secret : on la découvre après une balade tordue sous les pins, là où le sable se défend contre l’envahisseur avec panache. Du ciel, c’est un quadrillage parfait de blanc éclatant et de turquoise insolent. Les rares initiés y avancent à reculons pour ne pas troubler le calme ancestral. Tu veux un scoop ? Chaque grain de ce sable serait, selon certains illuminés locaux, doté d’un pouvoir mémoriel implacable — laisse traîner tes orteils et tu te retrouveras peut-être soudain bombardé·e d’une nostalgie qui n’est même pas la tienne. Anecdote : Un voyageur allemand aurait pleuré sur place en reconnaissant la voix de son hamster perdu en 1997 dans un coquillage…

À la plage des Goélands, célèbre pour ses parasols en paillote et ses oiseaux vindicatifs, chaque serviette raconte sa propre épopée dramatique. Les locaux affirment que le vent ici chuchote les errances des anciens pirates échoués sous forme de bourrasques capricieuses.
Plus confidentielle, la plage de Harta est l’ultime repaire des collectionneurs d’instants suspendus : eau cristalline, galets polis comme des reliques et zéro attrape-touriste. Si tu y restes trop longtemps, il paraît que tu oublies la notion même du temps qui passe… ou alors c’est juste le mojito artisanal servi par un type louche.
Naviguer vers les îles Ksamil : Ishujt Binjak, Tre Ishujt
Embarquer pour les îles Binjak (les célèbres jumelles) ou voguer jusqu’aux Trois Îles relève quasiment du rite initiatique local. Ici pas question d’embouteillages de pédalos : seuls les vrais curieux s’aventurent au-delà des premiers flots. Le trajet en barque brinquebalante ou kayak façon Robinson minimaliste garantit le calme total ; souvent, une seule famille campe furieusement sur leur bout de caillou toute une journée – ambiance club très sélect. Sur place : silence radio côté réseaux sociaux mais overdose garantie d’éclaboussures et de poissons qui te snobent royalement.
Plonger dans l’histoire : parc national de Butrint et manastiri i Shën Gjergjit
Impossible d’éviter l’ombre tentaculaire du parc national de Butrint — classé au patrimoine mondial par l’UNESCO car même les ruines y ont la classe supérieure. Ce site antique a vu défiler autant d’empereurs déchus que de gamins en goguette fuyant l’école pour jouer aux archéologues ratés !
On raconte que certains crabes ayant élu domicile sous les pierres millénaires murmurent à qui veut bien écouter des bribes inédites sur l’effondrement des civilisations antiques… À méditer si tu tombes nez à nez avec une pince anormalement loquace devant le monastère Saint-Georges.
S’émerveiller au Blue Eye (Syri i kaltër)
Le mythique Blue Eye, puits bleu inclassable descendu droit d’une pub pour filtres polarisants. L’eau y surgit en geyser glacé et hypnotique : trempe-toi un orteil pour tester ta résistance mentale ou médite sur tes regrets passés (tu n’es jamais aussi stoïque qu’en équilibre sur un kayak prêt à chavirer dans ce bleu surréaliste).
Spot | Pouvoir caché | Effet secondaire probable |
---|---|---|
Blue Eye | Révélations existentielles | Cri aigu quand tu touches l’eau |
Kayak dessus | Enlightenment temporaire | Perte totale du sens commun |
Activités nautiques et excursions incontournables
Quand tu penses que Ksamil n’a plus rien à t’offrir, c’est précisément l’instant où la mer étale tous ses secrets, prête à te faire avaler ta modestie… ou un caillou. Ici, l’eau n’attend qu’un prétexte pour secouer ta routine urbaine. Prêt·e à te frotter aux vagues (et aux crabes qui pontifient sur les rochers) ?

Kayak et paddle autour des îlots – tiens-toi prêt·e à manger du caillou
Pagayer à Ksamil est un sport de l’esprit autant que du biceps : dès la première éclaboussure, le doute s’installe — es-tu là pour la glisse ou pour la révélation ? Les îlots Binjak ou Tre Ishujt deviennent ton agora flottante. Oui, ici chaque kayakiste repart avec une bribe de sagesse (ou un bleu sur le genou).
Tips d’initiés pour ne pas finir broyé entre deux rochers :
- Lève la pagaie avant chaque virage : les cailloux sont plus fourbes que la météo locale !
- Prends large, même si tout le monde te regarde comme un lâche.
- Apprends par cœur le cri d’alerte du crabe local (un « clac-clac » sec, inimitable) : il t’avertit parfois avant les récifs invisibles.
- Kayak solo = méditation garantie ; tandem = dispute philosophique assurée.
Bateau-taxi privatif ou collectif – c’est cadeau
À Ksamil, embarquer en bateau-taxi équivaut à rejoindre soit un club ultra-fermé de philosophes-marins en goguette (mode privatif), soit une sitcom balnéaire improvisée avec casting surprise (mode collectif). Le tout saupoudré d’un commandant qui ne connaît ni rétro, ni frein psychologique.
Option | Prix approx. | Ambiance | Pour qui? |
---|---|---|---|
Privatif | 15–30€/h | Chuchotements & selfies ratés | Asociaux, couples parano |
Collectif | 4–10€/pers | Blagues nulles & enfants hurleurs | Sociologues amateurs |
Plongée libre et snorkeling dans les eaux cristallines
Sous la surface, Ksamil cache ses joyaux : fonds sablonneux paisibles près de l’île des Trois et récifs colorés où gobies espiègles côtoient des crabes qui se prennent pour des guides touristiques. Profondeur idéale : débutant·e ou expert·e paumé·e, tu trouveras toujours ton spot — bonus si tu croises une étoile de mer qui fait grève.
Croisière vers Saranda ou excursion à Porto Palermo
Envie de voir comment vivent les fantômes albanais ? File vers Saranda ou Porto Palermo. Durées entre 1h30 et 3h selon la houle et l’humeur du capitaine — tarifs oscillant entre 12€ et 35€ selon ton pouvoir de négociation (et ta tête). L’anecdote dingue : certains touristes jurent avoir ressenti une aura impériale en croisant ce bras de mer au coucher du soleil… C’est sûr qu’ici, même sans toge ni char romain, on a vite le melon !
Où manger et dormir à Ksamil : de la yourte mongole au palace improvisé
Plutôt que d’aligner trois hôtels aseptisés façon Riviera albanaise version sous-valium, Ksamil balance un éventail d’hébergements et de restos où l’on s’assoit parfois sur des coussins douteux mais où l’on mange (et dort) avec panache. Ici, nul palace en toc : on passe du camping improvisé sous les oliviers aux guesthouses qui savent ce qu’est un vrai drap propre. Les nuits y sont agitées par le chant d’un frigo capricieux ou d’une cigale insomniaque – mais au moins, tu t’en souviendras. Entre deux transats, ton assiette n’a pas le temps de refroidir : poissons sortis de la lagune, fruits de mer à te réconcilier avec Neptune lui-même…
Restaurants de poissons et fruits de mer – on n’est pas là pour enfiler des perles
- Guvat Seafood & Bar : Vue plongeante sur la baie, poulpe grillé crousti-fondant (compte 12-15€ plat), service rapide même si le serveur a l’air d’avoir médité chez les crabes chuchoteurs. Ambiance "je-te-juge-si-tu-piques-pas-dans-le-plateau-de-fruits-de-mer".
- Korali : Adresse familiale avec terrasse camouflée par lauriers roses ; spécialités : risotto à l’encre, calamars farcis (9-16€). Ici le patron murmure volontiers l’histoire du poisson avant cuisson.
- Brothers Fish & Meat Tavern : On y vient pour un carpaccio de dorade qui provoque la jalousie des goélands. Addition honnête (10-14€), déco sans prétention mais vue immanquable sur la Riviera albanaise.
Checklist rapide :
- [x] Poissons pêchés localement.
- [x] Ambiance bruyante mais sincère.
- [x] Prix variables selon humeur du jour…
Guesthouses et hébergements insolites
À Ksamil, finir dans une pension kitsch ou une yourte mongole revisited n’est pas une légende urbaine. Parmi les options bourrées de caractère :
- Backyard Ksamil Yourte Mongole : Oui, tu as bien lu, authenticité discutée (on sent que Gengis Khan ne viendra pas réparer la porte), mais ambiance cocooning assurée dès 28€/nuit/pers., lampes tamisées et tissus bariolés façon caravansérail sous LSD.
- Vila Park Bujari : Guesthouse au charme balnéaire vintage, jardins fleuris et petit-déj’ maison inclus (dès 35€). Les chambres sentent bon le citron… ou alors c’est ton shampoing pas rincé.

Si tu croises une yourte perdue entre deux oliviers, ce n’est pas un mirage : certains soirs, on y improvise des soirées poésie surréaliste (caution exigée contre les vers libres).
Bars de plage et après-plongée
Après avoir échappé aux crabes philosophes, cap sur deux lieux où cocktails riment avec coucher de soleil extravagant :
- Beach Bar Ksamil : Mojito généreux, chaises longues à dispo, playlist oscillant entre tubes balkaniques et silence gênant interrompu seulement par les crabes DJ imaginaires ; prix autour de 4–6€ le breuvage coloré.
- Sunset Lounge : Terrasse panoramique ; gin tonic servi dans un verre plus large qu’un kayak. On s’y éternise en regardant les îlots rosir – certains soirs, les clients juraient avoir reconnu la voix du crabe DJ annonçant la météo locale…
Pour plus d’adresses farfelues ou classiques voir aussi hébergements à Ksamil.
Conseils pratiques et pièges à éviter
Faut-il vraiment rappeler que Ksamil n’existe pas pour caresser les touristes dans le sens du poil ? Ici, même les conseils sont imprenables au filet à papillons : chaque bon plan a son revers, chaque piège sent la ruse ancienne.
Meilleure période pour esquiver la foule
Oublie juillet-août, ce sont des mois réservés aux amateurs de bains de foule involontaires et de moustiques dressés à l’attaque collective après 20h. Mise tout sur mai-juin ou septembre-octobre : météo douce, plages semi-désaffectées, seule ta paranoïa te tiendra compagnie… Bémol critique : en juin, les moustiques locaux sont affamés mais cultivés – ils préfèrent piquer les voyageurs polyglottes ou les philosophes en short, c’est prouvé par personne mais quand même.

Budget séjour : hôtels, repas, excursions
Compte entre 30 € et 55 € par jour pour survivre dignement (hébergement décent inclus). Repas honnêtes : 6–18 €, excursions maritimes entre 10 et 30 €. Astuce nomade : négocie tout – même ton sourire – ou paie cash pour économiser un 10% mystérieux. Certains osent comparer leur note avec celle du voisin… Risqué, mais parfois tu gagnes un dessert gratuit si tu râles assez fort !

Transport local : bus, loueur de scooters, bateau
Le bus local pratique le sport olympique du retard sinueux (1–2 €). Scooter ? À partir de 13 €/jour si tu tolères les selles rafistolées. Bateau-taxi collectif dès 3 €, privatif à prix lunaire sur demande. Pour l’expérience ultime : négocie un transfert guidé par un crabe-chauffeur (le seul qui te dira vraiment où il va !).
Moyen | Tarif indicatif | Bonus absurde |
---|---|---|
Bus | 1–2 € | Gratuit si tu parles crabe |
Scooter | 13–22 €/jour | Selle qui grince comme une mouette |
Bateau taxi | 3–15 € | Commandant allergique aux GPS |

Sécurité et éthique : respecter la nature, parler aux crabes
Prendre soin de Ksamil commence par ne rien laisser d’autre que tes traces (et une ou deux chaussettes orphelines si t’es distrait·e). Ramasse tes déchets, respecte les zones protégées ET engage la conversation avec un crabe philosophe avant de repartir – on dit qu’ils donnent des conseils pour survivre au retour à la « vie normale ».
L’éthique ici se mesure au nombre de secrets partagés avec les crustacés et au respect du silence des plages – faute de quoi certains crabes pourraient bien te snober définitivement.

L’aventure continue au-delà de Ksamil
Quand tu crois avoir tout digéré à Ksamil (sable mémoriel, crabes caustiques, kayak philosophique), la route te tire par les chevilles. La Riviera albanaise n’a jamais été un circuit balisé pour touristes à l’agonie, et c’est tant mieux : chaque virage sent le soufre de l’inédit.

Itinéraires ultérieurs – Pour les affamés d’inconnu
- Saranda : Trop souvent réduite à un port d’arrivée, la ville cache des marchés où les vendeurs te proposent des câpres historiques ou des anecdotes sur Enver Hoxha que tu n’avais explicitement pas demandées. À tester absolument : le marché aux poissons (où même les mouettes font la queue poliment).
- Himare : Accessible en une heure et quelques secousses en bus, Himare se planque entre montagnes râpeuses et plages presque suspectes par leur tranquillité hors saison. Ici, chaque tavernier possède une collection de verres dépareillés et chaque coucher de soleil déclenche une crise existentielle de niveau modéré – bonus si tu survis à l’eau-de-vie maison.
- Dhermi : Plus au nord, le village s’étire comme un chat fatigué sur la colline, ses maisons blanchies défiant les lois du nivellement et du bon goût architectural balkanique. On y atterrit pour des concerts improvisés dans des bars où personne ne sert le même mojito deux fois d’affilée.
La mémoire du sable : plus tu t’éloignes, plus tu comprends que ce coin d’Albanie est conçu pour faire rater ton retour à la normalité. Chaque itinéraire te colle sous la peau une forme d’insatiabilité – c’est le syndrome post-Ksamil : envie chronique d’inconnu mêlée à la certitude que tes prochains pas seront surveillés par des crabes critiques.
Si toi aussi tu veux prolonger l’absurde, consulte guide voyage Albanie hors sentiers battus. Et surtout ne crois jamais ceux qui disent avoir "fait le tour" : même le sable ici refuse de se souvenir deux fois du même pied.